Archive : avril 2004

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Silencio XCIX

Comme si un incendie venait de tout réduire en cendres…

KMS, 4'33'' :(


Silencio XCVIII

Encore une belle journée d'avril qui me donne envie d'enlever des fils ! Du silence, encore du silence, je sais. Tout baigne, comme on dit. […] Vivre plus, écrire moins, ça fait parfois du bien !

Stephanie :)


La fille du roi des elfes

Les gens du pays des Aulnes sont satisfaits de leurs seigneurs depuis sept siècles, mais récemment, peu de hauts faits se produisent. Ils expriment au Seigneur leur volonté d'être gouverné par un prince enchanté pour faire venir la magie dans leur contrée et la rendre célèbre. Celui-ci convoque alors son fils Alveric, et le met en quête d'aller marier la fille du roi des elfes qui réside au royaumes enchantés… Alveric s'en va tout d'abord trouver son amie sorcière, qui forge une épée magique, puis va trouver le vieux bourrelier pour faire un fourreau. Ainsi paré, il va franchir la frontière du royaume enchanté, combat les arbres ensorcelés qui en protègent l'accès. Au chateau de la princesse Lizarel, il combat et défait les quatres chevaliers enchantés qui la garde. Ils s'enfuient tout deux vers la terre des hommes, et échappent de justesse au puissant sortilège du roi destiné à la retenir…

Ce ne sont là que les quarante premières page de La fille du roi des elfes de Lord Dunsany… Alveric & Lirazel pourraient ensuite vivrent heureux et avoir beaucoup d'enfants, mais pour merveilleux qu'il soit, ce conte n'est pas un conte de fées, c'est un conte de fantasy, de licornes arrogantes (mais faut-il pour autant une horde de trolls pour les décimer ?) et de quêtes pleines d'errances… Court mais assez charmant. Et puis il fallait bien que je lise enfin qq chose de ce Lord Edward John Moreton Drax Plunkett, 18e du nom, qui a influencé Lovecraft, Sprague de Camp & Tolkien

PS : la couverture du livre chez Denoël PdF étant d'elle, j'en profite pour faire un lien vers le site non officiel de Florence Magnin.


Silencio XCVII

Did I Miss Anything

Question frequently asked by
students after missing a class

Nothing. When we realized you weren't here
we sat with our hands folded on our desks
in silence, for the full two hours

Tom Wayman

[via Beautiful Stuff]


Silencio XCVI

I was always nervous, and I envied shy kids. They were equally uneasy, but coped by withdrawing into silence. The nice thing about not saying anything is people assuming you're cool and mysterious. I had to punctuate everything with a little comment. They weren't always nice. The more uncomfortable the silence became, the more I'd say. I'd often return home with no recollection of what I'd said.

[…]

All I'm saying is I'd trade a lot for the luxury of the silence of the beautiful sometimes. I'd love to be strong and confident enough to keep my mouth shut.

not pretty : Beautiful Silence


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  • on est content d'apprendre que la France pourra fièrement conserver son statut de deuxième pays au monde qui dépense la plus grosse partie de son budget national pour amuser les presque chauves habillé en kaki. 404BNF
  • Everything is broken […] And yet, people seem to be getting lots of things done on the Internet these days. Curious, that.
  • arbitrage quotidien Le plaisir du blogue réside autant dans la fréquentation de carnets habituels, et la découverte d'autres, que dans l'acte d'écrire et de publier sur son propre carnet Web.
  • Actimel inutile DGCCRF saisit Afssa et lui demande de vérifier les compétences des trois [bactéries]. Son verdict vient de tomber. Il fait mal. [via Mr_Peer]
  • Quelque part, il fait toujours nuit à la sortie d'un cinéma ; il suffit de voir l'étonnement qui envahi les visages des gens qui, par mégarde, s'y aventurent l'après-midi. Cramoisi

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2PKD

Lus cette semaine deux P.K.Dick mineurs :

Le guérisseur de cathédrales - À la suite d'un recrutement musclé, Joe, guérisseur de porcelaine, se retrouve embarqué avec une escouade de gens aux talents divers dans une entreprise prophétique conduite par une sorte de divinité aqua-chtonienne ; il s'échappe d'une terre totalitaire en étant un looser, pour se retrouver ensuite leader, voire Messie, confronté au choix d'aider ou de contrarier l'entreprise d'un vieux dieu mi-lovecraftien mi-paternaliste… À la fin, Joe se retrouvera confronté à son choix, mais d'une façon beaucoup plus humaine que grandiloquente… Dépaysant et avec un souffle d'existentialisme, je rapproche Galactic Pot-Healer (le titre en vo) de cet autre livre fini récemment : Damiers imaginaires, de l'inclassable Emmanuel Jouanne, encore plus ovni - mythes incontrôlables, solitudes définitives, deux hommes ordinaires jetés dans des voyages qu'ils ne désiraient pas dit la 4e de couv…

Le bal des schizos - En recyclant leur affaire de vente de piano et orgue électronique dans l'optique de reconstituer la guerre de Sécession avec des robots quasi-humains, Louis et Maury vont certainement pimenter leur routine, et bientôt seront rejoint dans l'aventure par Pris, une jeune schizoïde, Sam, un millionnaire en immobilier lunaire ou encore un Lincoln mélancolique accroc aux livres pour enfants… L'aspect SF du livre (la construction de simulacres, même thème que Blade Runner) m'a semblé négigeable par rapport aux relations entre la poignée de personnage. Conflits, amour/haine, jeux économico-juridiques, trahisons, famille, folie… La psychologie des personnages vaut la peine de passer sur les faiblesses du livre. L'intrigue bondissante du roman débouche sur une histoire d'amour triste… Ci-dessous la citation d'un tout petit bout de la relation très changeante entre Louis et Pris, ça manque de contexte, mais j'avais envie :

Pris
C'est le premier pas d'une délicieuse intimité ?
Louis
Je vais te faire faire connaissance avec l'indicible.
Pris
Tout ce que je veux, c'est être à même d'en parler, pas être obligé de le faire. Mais bien entendu, tu plaisantes ; on va s'asseoir l'un à côté de l'autre, et puis je rentrerai chez moi. C'est le mieux pour nous deux ; en fait, c'est le seul choix qu'il nous reste.

Nous entrâmes dans la petite chambre obscure du motel ; j'allumai la lumière, puis le chauffage, et enfin la télé.

Pris
C'est pour qu'on ne nous entende pas haleter ? (Elle éteignit la télé.) J'halète très doucement ; et ce n'est pas nécessaire. (Elle ôta son manteau et le tint en l'air jusqu'à ce que je le prenne pour le pendre dans le placard.) […] Qu'est-ce que je dois enlever d'autre ? Mes chaussures ? Mes vêtements ? Ou bien préfères-tu le faire ? Dans ce cas là, ma jupe n'a pas de fermeture éclair ; il faut défaire des boutons, et fais attention de ne pas tirer trop fort, sinon le bouton du haut va lâcher et il faudra le recoudre. (Elle se tourna pour me montrer) Les boutons sont là, sur le côté.
Louis
Tout ceci est très instructif, mais pas très éclairant.
[…]
Pris
[…] je n'arrive pas à te comprendre ; par moments, tu ressembles à un bébé qui a été préservé de la vie.
Louis
Ce que j'ai fait, c'est que j'ai pioché çà et là des petits bouts de réalité et que j'ai appris à les connaîtres, un peu comme un mouton qui a appris un chemin dans un pâturage et qui n'en dévie jamais.
Pris
Et tu te sens en sécurité gràce à ça ?
Louis
Je me sens en sécurité la plupart du temps, mais jamais quand je suis près de toi. (Elle hocha la tête)
Pris
Pour toi, je suis le pâturage.
Louis
C'est assez ça.
Pris
(Éclatant tout à coup de rire) C'est comme si Shakespeare me faisait la cour. Louis, tu peux me dire que tu vas moissonner, brouter, paître parmi mes collines et mes vallées charmantes, et surtout mes prairies divinement boisées, tu ais, là où les fougères et les herbes parfumées ondulent à profusion. Je n'ai pas besoin de te faire un dessin, si ? (Ses yeux lançaient des éclairs) Maintenant, pour l'amour de Dieu, enlève-moi mes vêtements, ou essaie, au moins.

J'ai pris le livre, et j'ai marqué un temps de pause. Je me suis souvenu qu'on ne pouvait pas faire de grep IRL. J'ai soupiré, et j'ai reposé le livre. J'ai demandé à google, et google m'a répondu.


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  • Liste de blogs liés à la BD sur le wiki-joueb de Mouche
  • Présentation et Interview de Walter Jon Williams [par Ban sur Lunatik]
  • Il faut etre un bloggeur bete pour regarder ses stats et en rire Googlewish chez 404BNF
  • Blog en friche Je [J.-F.Copé] suis en tous cas trés intéressé par cette expérience [tenir un blog], que je souhaite poursuivre, car je suis convaincu qu'un tel outil doit fonctionner dans la durée. [via Embruns]
  • Epimemiology - and Exquisite Corpse mutation of p23s5 inoculated three times. Plus one.
  • CSS Zen Garden as an old school comics [via 0xDECAFBAD] et 100e feuille de style par Eric Meyer & Dave Shea
  • image: Magneto was right [via PlasticBag]
  • cyberpunk/shadowrun chez Tom Coates : the thread has tweaked my interest because of another post which reads as follows : But djinn and efreeti on the battlefield would be so cool, especially if they went up against the robot tanks and battlesuits that are in development. Which got me thinking about technology and the way we use it to make the dreamed-of real. / which fantasies have we seen become technologised and then become commonplace ? / It's not that any sufficiently advanced technology is indistinguishable from magic - it's that the aim of all technological advancement is to aspire towards the appearance of magic. (and to add a DNA quote : How do you recognize something that is still technology ? A good clue is if it comes with a manual)

Conseil télé : au Cinéma de minuit sur FR3, Les enfants du paradis : ce soir Le boulevard du crime, dimanche prochain, L'homme blanc ; Marcel Carné, Jacques Prévert, Arletty…


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Silencio XCV

Quelques BD muettes listées chez Le garage hermétique


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photo : Casimivore


Perdre une journée

Commencer par perdre une demi-journée, à tomber de Charybde en Scylla informatique (pas une commande qui donne le résultat qu'elle devrait donner, pas une dépendance qui ne pousse à digresser plus loin, pas une compil qui aboutisse, ou si elle aboutit après l'application d'un patch, c'est pour coredumper plus loin, pas un médium qui soit fiable, pas un matériel qui soit agréable…)

Perdre ensuite une demi-journée à être malade comme un chien sans cause précise, attendre que ça passe en position foetale dans le lit ou agenouillé devant l'autel du dieu porcelaine.


Spreading the meme + The Salmon of Doubt

Hoplà, un meme à suivre, ça coûte pas cher et ça ressemble un peu à Excipit. Vu chez Incoming Signals :

Pick up the nearest book.
Open it to page 23.
Find the fifth sentence.
Post the text of the sentence in your journal along with these instructions.

J'aurais préféré la page 42, mais c'est vrai que ça enlevait une part de hasard. Résultat : extrait de The Salmon of Doubt de Douglas Adams :

The law descended on me.

The Salmon of Doubt : Hitchhiking the Galaxy One Last Time restait dans les parages de mon bureau bien que fini depuis le mois dernier, parce que je voulais faire un post pour en parler. Il semblerait que la version française soit prévue pour le 22 avril, d'après amazon. Il s'agit vraiment d'un livre pour ceux qui ressentent un manque dans l'univers depuis que Douglas est décédé le 11 mai 2001 ; il s'agit d'une compilation de textes divers à partir d'interviews, d'articles pour des magazines allant de MacUser à The american atheist, et de ce qu'il avait en cours sur son Macintosh… Cela contient aussi la nouvelle Young Zaphod plays it safe et enfin un choix parmi les versions existantes des premiers chapitres de ce qui aurait du être le troisième Dirk Gently

Ce livre permet de connaître un peu mieux (et de regretter un peu plus encore) Douglas Adams tel qu'il était, en parcourant ses réflexions sur un peu tout et n'importe quoi, des récits de tranches de vie aussi, des réponses à des questions… En ce sens, le recueil donne la même impression que si on lisait le blog de D.N.A., d'autant qu'à la fin de certains articles, il invite les lecteurs à lui laisser des commentaires sur h2g2.com. Il écrit pour donner envie de lire P.G.Woodehouse ou Richard Dawkins, pour parler de son expérience vis-à-vis des espèces en danger de disparition, de la technologie en particulier informatique, ou encore pour parler autour d'un détail. Quant au style, on le reconnait, et ces pages sont une réserve de plus dans laquelle aller à la pêche aux citations… Un petit texte intercalé entre deux articles par exemple :

I've come up with a set of rules that describe our reactions to technology :

  1. Anything that's already in the world when you're born is just normal ;
  2. anything that gets invented between you're fifteen and thirty-five is incredibly exciting and creative and with any luck you can make a career out of it ;
  3. anything that gets invented after you're thirty-five is against the natural order of things and the beginning of the end of civilisation as we know it until it's been around for about ten years when it gradually turns out to be alright really.

Les quatre-vingts pages couvrant onze chapitres de The Salmon of Doubt sont traitres, car elles laissent vraiment entrer dans un livre inédit de D.N.A. pour déboucher sur un vide béant, et le fax d'une dizaine de ligne expliquant vers quoi l'histoire s'achemine ne permet que d'estimer ce qui aurait pu être. Malgré le fait que ce soit inachevé, avoir du rab' sous cette forme de patchwork a été un grand plaisir.


photo : L'allumeur de réverbère


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Questionnaire cinéma

Je suis complétement, absolument, irrémédiablement incapable de répondre à un questionnaire à questions ouvertes sur mes goûts en cinéma, littérature, musique, etc. Pour tenter tout de même de répondre à ce Questionnaire cinématographique, je me suis limité aux films vu depuis le premier janvier 2004, et même comme ça, j'ai du mal, ça laisse encore dans les 90 films, cinéma et vidéo confondus, parmi lesquels choisir…

Quel film avez-vous vu le plus souvent ?
Parmi la dizaine de films que j'ai revu depuis le début de l'année, ceux qui reviennent souvent en général sont : Rocky Horror Picture Show, Las Vegas Parano et Tank Girl
Quel film voudriez-vous vivre ?
Coffee and cigarettes, mais je ne fume pas alors c'est pas possible.
Dans quels films ou personnages vous retrouvez-vous ?
Finn dans The station agent pour le côté peu causant, le lapin blanc dans Alice pour le côté ne fait rien mais n'a jamais le temps, Woody Allen dans Play it again Sam pour le côté loose, en attendant de me la jouer Boggart ;)
Quelle est pour vous la plus belle performance d'un acteur ?
J'aime bien le duo Charles Berling / Edouard Baer dans Cravate Club ou le duo Lugosi / Karloff dans The black cat (même si, bon, c'est un certain type de performance d'acteurs). Il y a James Stewart qui est svt formidable, par ex. dans Harvey. Oh, et puis Sean Penn dans 21 Grams, tjs excellent acteur.
Et d'une actrice ?
Répondre Audrey Hepburn dans My Fair Lady serait p-ê trop du parti-pris… J'ai trouvé : Françoise Lebrun dans La maman et la putain
Quel est le plus beau film que vous ayez vu ?
hmm disons Surviving Desire de Hal Hartley, mais je me force vraiment à ne donner qu'une seule réponse (et tjs parmi les films vus depuis 2004)
La scène qui vous emmène ailleurs à chaque vison ?
Le trip dans Blueberry - non, je déconne, vu qu'une fois, et j'ai pas l'intention de le laisser m'emmener ailleurs une seconde fois.
Le film le plus triste que vous ayez vu ?
La mort de King Kong ? L'impasse pour le trio de La maman et la putain ?
Et le plus drôle ?
À part les redites Rocky Horror Picture Show, Las Vegas Parano ou Tank Girl, il y a Happiness of the Katakuris qui m'a vraiment fait bcp rire. Les répliques de Woody Allen sinon. Et Troméo+Juliet pour une part de Troma
Le plus choquant ?
hmm la fin de Gozu ou celle de Audition ont choqué qqs spectateurs, Ichi the Killer aussi, mais de Miike, je n'ai pas revu Visitor Q depuis janvier pour pouvoir le citer (oops;) alors que c'est celui qui m'a dérangé. Je ne suis pas trop "choquable" non plus il faut dire. edit: je viens de voir Suicide Club que certains indiquent comme choquant, mais de ce point de vue Naked Blood faisait bien mieux sept ans plus tôt.
Le plus con ?
house of the dead
Le plus nul ?
lost things des adolescents cons qui n'en finissent pas de mourir
Le plus fou ?
Alice de Svankmajer, alliant la folie de l'animateur Tchèque à celle de Lewis Carroll ; Monkey business, les Marx Brothers n'arrêtant pas un moment leur délire ; Happinness of the Katakuris qui est un ovni ; ou encore RHPS
Le film avec le plus de suspense ?
Lost Things : la ficelle est tellement énorme que tout le monde a compris après dix minutes du film… donc j'ai cru qu'il y aurait une retournement à la fin. Non. Sinon, il y a La grande illusion, savoir si l'évasion réussira ou pas, bien que le suspens ne soit pas le moteur du film.
La meilleure comédie musicale ?
Naque et Geri ont déjà dit Rocky Horror Picture Show, alors j'en profite pour varier : Top Hat, parce Fred Astaire & Ginger Rogers. Ou Happiness of the Katakuris, mais en fait les parties "comédie musicale" sont terriblement kitsch alors ce n'est pas une réponse sérieuse.
Le meilleur western ?
Le seul western que j'ai vu depuis janvier étant Blueberry, je vais répondre Rainy Dogs de Miike
Le meilleur film d'horreur ?
Même avec Fantastic'arts, il n'y en a pas tant que ça de ceux que j'ai vu que je qualifierais d'horreur. Je vais dire Beyond Reanimator et Evil Dead pour de l'horreur fun et puis The black cat et The most dangerous game pour des classiques d'épouvante.
La scène la plus hallucinante ?
Plusieurs de Happiness of the katakuris, par exemple le sauvetage de Potchiiii le chien :) La transformation du loup-garou dans The company of wolfes a bien vieilli, les scènes délirantes dans le Troméo+Juliet chez Troma, Alice hallucinant de bout en bout… L'ovni de Resurection of the little match girl qui est assez interloquant
La scène la plus romantique ?
La rencontre radiophonique au début de A matter of life and death, ou alors King Kong déposant Fay Wray, ou encore les relations dans les films d'Hal Hartley
La meilleure course poursuite ?
pas de poursuite mémorable dans les films de ma liste, alors disons celle de Blues Brothers ou bien celle de Ronin
De quel film faites-vous souvent la promo ?
Ceux de Miike ou Hartley, Harvey, ceux avec Audrey Hepburn, Tank Girl. Et puis j'essaye aussi de caser, ce qui n'est pas facile, Hardware de Richard Stanley
Votre réplique préférée ?
gozzuuuuu… ;) Il y a aussi Je m'appelle Inigo Montoya. Tu as tué mon père. Prépare-toi à mourir. Sinon, avec Le mépris, il y a moyen de décliner la citation Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ?
Quelle est votre bande originale préférée ?
RHPS ; Doris Day pour Que sera sera dans The man who knew too much. Pas revu récemment mais des BO notables : NBK, Ghost World, Gadjo Dilo
Votre plus grand déception ?
Blueberry (Jan Kounen + Blueberry, ça aurait du donner autre chose), RRRrrrr!!! (bcp de chiant pour qqs bons gags), Full Metal Gokudo (le premier Miike que je n'ai pas envie de revoir)
La meilleure surprise ?
The station agent, simple mais juste assez différent. Beyond Reanimator à la fois old et new school, marrant. Miike presque à chq films. La découverte de Svankmajer
Votre plus lointain souvenir de film ?
Depuis le début de l'année donc… Ben, le 1er janvier, revoir The book of life
Quel film rêvez-vous de voir ?
J'en ai une liste longue comme 42 bras… Tiens, par ex., je me demandais tantôt ce que devenait l'adaptation de Neuromancer par Chris Cunninghman… Entre les films existants, ceux à venir et ceux qui pourrait être tournés, c'est trop.
Le plus beau titre ?
Nominés : The sun also rises, The bird people in china, Lost in translation, Surviving desire… Vainqueur : Resurection of the little match girl
Quel est pour vous le film parfait ?
Non mais ça va pas la tête ?

PS : grmbl j'aurais eu le temps de voir un film au lieu de remplir ce questionnaire. Penser à m'abstenir la prochaine fois.


Silencio XCIV

Exercice de style sympa, tout comme l'épisode musical Once more with feelings, vingt-huit minutes sur les quarante-deux que compte l'épisode dix de la saison quatre de Buffy, intitulé Hush, sont sans paroles.

Riley
I guess we have to talk
Buffy
I guess we do.

(fin de l'épisode)


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Nomeansno, 2004.04.06

Au risque de remuer le couteau dans la plaie de Cacochyme, le concert de NoMeansNo était excellent, comme on pouvait s'y attendre :) Ce n'est pas souvent que j'ai l'occasion de voir les groupes qui m'importent vraiment, mais qd c'est le cas, ça en vaut vraiment la peine. NoMeansNo par exemple devrait être bien plus connu, et avoir au moins la grande salle de La Laiterie. On a tout de même bien rempli la petite salle. La première partie, Deverova Chyba, était bien sympa aussi. Maintenant, je vais me mettre le dvd dans les yeux et les oreilles (live nomeansno + live hanson brothers) pour faire durer le plaisir :) Pour donner une idée du style, deux mp3 temporairement : Give me the push (6.4Mo) & Two Lips, Two Lungs and One Tongue (1.7Mo) Only so many songs can be sung With two lips, two lungs and one tongue



photos de chez vampster


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  • HTML is code (dans le sens où de l'HTML devrait aussi être formatté lisiblement) <p class="MsoNormal" style="margin: 0in 0in 0pt;"><span style="font-family: Tahoma;"><o:p>&nbsp;</o:p></span></p> <div style="border: 1pt solid windowtext; padding: 1pt;">… *sigh*
  • post de Rich Skrenta : what Google is up to et poursuite de l'idée chez Kottke : GooOS… Il paraît évident que Google est l'embryon de l'ordinateur qui calculera la question à la grande question de la Vie, l'Univers et le Reste (pour la réponse, ça a déjà été calculé)
  • aàlp: pub insidieuse Pour Ford, il s'agit d'attirer les jeunes femmes attentives à leur apparence qui ne lisent pas forcément les journaux automobiles (sic sic sic)
  • Le débat autour du brevet logiciel de nouveau sur le tapis À travers la question des brevets, c'est finalement une discussion plus vaste qui s'est engagée, autour de la gestion des savoirs. Le débat n'est donc plus seulement informatique, mais éthique et philosophique.
  • carnet rose: bienvenue à la petite Maïté
  • blogping pour une poignée de pings [via Ute]

La maman et la putain

Via Tehu, lien vers Casaploum pour les posts pendant et après le visionnage de La maman et la putain de Jean Eustache. Je l'ai découvert récemment via Eulvin/Meujor, et c'est un film très fort, lorsqu'on est réceptif. Je ne le conseillerais pas à tout le monde - 3h30 de dialogues, film de la nouvelle vague - mais je suis reconnaissant qu'on me l'ai conseillé. J'en ai revu de longs passages juste après avoir fini de le voir une première fois, et j'y reviendrai sans doute.

Alexandre (Jean-Pierre Léaud)
Veronika (Françoise Lebrun) et Marie (Bernadette Lafont)

Ce post aurait aussi pu être un Silencio :

Alexandre
Et puis je n'ai jamais compris les gens qui sans se connaître trouvent des sujets de conversation. Il faudrait se taire, se regarder en silence, ou bien parler beaucoup parce que ça revient au même… mais chercher ses mots, choisir, celui-ci ou celui-là - pourquoi ?

Remplissage ?

L'effet Blog Pâle

[22:47:38] <mouche> c'est stressant ta page blanche


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  • blog de J.-B.Soufron Droit des affaires, Droit du Multimédia et des Systèmes d'Information [via LaFeuille]
  • anim,flash: Alien Zoo et You're all gay [via Trauveler] et jeu flash Night of the Zombie Kitties
  • assez, il y a quatre-vingt et quelques raisons d'être content [via Douze Lunes]
  • review BD: Planetary par Gino. Espérons que Semic fasse mieux son travail d'éditeur que Soleil et continue d'offrir aux lecteurs français la série, qui est, n'ayons pas peur de le dire, une des meilleures publiées aux Etats-Unis actuellement.
  • xhtml/css: Liens en cascade par BeRewt, jouer avec les z-index. Je note tout de même l'utilisation du préfix small pour le nommage de ses fichiers comme url(small-iok.png), à la limite du diffamatoire (bah oui, j'ai loupé les derniers remouds blogosphérique alors il fallait bien que je case le buzzword du moment qq part)