Pelote de liens
- images,sci : Visual exploration on mapping complex networks, de jolis graphs
- images,sci : Gardens in Petri, part 1, part 2, de jolies boîtes de Pétri
- images,dessins : hall of best knowledge handwritten cards
- images,books : english book covers, juste des couvertures de bouquins, oui, c'est tout. [via AFR?]
- images,photos : Desiree Palmen : Camouflage photo serie
- image,photo : Un ours [via JR]
- images,blog : Illustration Art, the glorious talents of the artists who illustrated stories, advertisements and comics in the 20th century.
- video : Einstein hollow face illusion [Cynical-C]
- videos : Jonglage de Jason Garfield [via cynical-c, avec du rab']
- litt,poé : Jamais un coup de dés n'abolira le hasard, de Mallarmé avec la bonne mise en page [via Embruns]
- vidéo,musique? : 4'33'' de John Cage [via :Cynical-C]
- comics : à propos de Cerebus, vol. 1, vol. 2
- webcomics : à propos des Garfield sans ses phylactères, je trouve what if we could see the future et I wanted to accomplish something particulièrement mordants et déprimants…
- quote :
Like an early physicist studying the atom, you will hurl little bits of culture at your new love and collect valuable data about her inner life by observing the way they bounce off.
[idlewords] - math : un post de David Madore à propos des ordinaux et de la page wikipedia sur les ordinaux, avec aussi un article (pdf) sur l'infini en mathématique, une vulgarisation dans un dialogue à la manière de GEB
à la limite de la suite w, ww, www, etc, tu ne peux plus utiliser w comme notation, et il faut recourir à un nouveau symbole : on note ça epsilon0. C'est en général à ce niveau-là que l'imagination des gens se met à faire des tours et qu'ils commencent à se prendre pour Napoléon. Donc nous n'allons pas voir ce tableau, j'ai peur que tu nous fasse un petit syndrome de Stendhal.
- cinéma : suite au commentaire de David Latapie, mise à jour du post concernant la liste de films notables d'archive.org
- citation,cinéma :
Il y a me semble-t-il dans la cinéphilie un complexe que l'on pourrait appeler "des danaïdes". Au fur et à mesure qu'elle donne ses lettres de noblesse à des formes jusque là exclue, elle les inclu de facto dans le champ culturel, d'où la nécessité permanente d'aller voir ailleurs. Le cinéphile est dans un processus sans fin de réévaluation […]. D'où l'impasse : On ne peut pas tout voir. C'est parce que, du point de vue du cinéphile, il y a trop à voir, que l'on ne peut tout voir… et dans le même temps on reprochera à certains de ne pas s'interesser aux "divers régimes des images animées"
Tlön en commentaire du post Sommes-nous encore cinéphiles ?
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