Silencio CXLII
J'apprivoise le silence
Puis d’autres entrent et s’assoient à leur tour sur les places encore tièdes. Pas le temps de nettoyer, de lever ou baisser le rideau. On entre et on sort comme dans un moulin, dans les flots de courants d’air, dans la certitude que tout cela a forcément un sens, et qu’il faut coûte que coûte corriger et noter, souligner en rouge, devancer ou défaire, parce qu’il n’y a pas de temps à perdre.
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