Pas fait la St-Patrick - ce qui n'était pas arrivé depuis des années - mais je me retrouve tout de même à rentrer chez moi à 3h42, et comme d'hab', ya "école" demain… Pas vraiment sommeil. J'hésite sur une stratégie de nuit blanche - avec le risque de contre-coup pile-poil pendant une réunion - ou le grapillage d'un cycle de repos après m'être retourné 42x dans mon lit ? Je pourrais presque en profiter pour blogger avant l'aube, tiens, ça changerait - mais non, je vais succomber à la solution raisonnable de dormir tout de même suffisament pour ne pas avoir trop d'absences entre deux cafés. Loin me semble le temps de la fac, là où je n'ai jamais tant fait de nuits blanches, mais il y avait alors tjs moyen de sécher une matinée pour se recaler. Que les levers sont durs quand on a besoin d'un bon nombre d'heures de sommeil mais qu'on ne veut pas s'abstenir de profiter de la vie, l'univers et le reste.
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